Des changements s’opèrent actuellement dans l’utilisation des outils collaboratifs étatsuniens pour l’enseignement supérieur et la recherche. En effet, des doutes soulevés concernant leur non-conformité avec le RGPD ont poussé la CNIL à inciter les organismes évoluant dans ces domaines à trouver d’autres alternatives. Ces dernières doivent respecter la réglementation européenne concernant le traitement des données personnelles. Dans ce cadre, NetExplorer se présente comme la solution idéale, promettant un haut niveau d’efficacité et de protection, pour pallier les risques auxquels ces structures peuvent être exposées.
La CJUE invalide le Privacy Shield
En octobre 2015, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) avait commencé par invalider le « Safe Harbor », un système d’accord qui permettait de transférer de manière plus sécurisée des données personnelles vers des entreprises implantées sur le sol américain. Le Privacy Shield, qui s’y est substitué et qui devait pallier les insuffisances du premier dispositif, a également essuyé un rejet de la CJUE, en juillet 2020.
En cause, l’institution estime encore qu’il ne permet toujours pas d’assurer suffisamment la protection des données personnelles de citoyens européens, au vu de la législation en vigueur aux États-Unis. La CJUE avait été saisie dans le cadre d’une procédure engagée par le citoyen autrichien Maximillian Schrems auprès de l’autorité irlandaise de protection des données à caractère personnel (Data Protection Commissioner). Il s’opposait au Facebook irlandais pour arrêter le transfert de ses données personnelles, en raison d’un niveau de protection insuffisant offert par la réglementation américaine.
La demande de Maximillian Schrems ayant été rejetée par la DPC dans un premier temps, qui s’est contentée de suspendre les transferts, l’Autrichien a saisi la Cour Suprême irlandaise qui a, à son tour, interrogé la CJUE. Cette dernière a rendu son verdict dans l‘arrêt Schrems II.
Elle a estimé que le niveau de protection offert n’est toujours pas adéquat au regard du RGPD. Selon la Cour, les garanties et les limitations ne sont pas suffisantes au vu des ingérences permises par la réglementation nationale. Cette dernière permet en effet à plusieurs programmes de surveillance de collecter et de traiter massivement des données à caractère personnel, incluant celles des résidents européens, sans un encadrement suffisant et ne permet pas aux personnes concernées de faire un recours.
Outils américains qui ne respectent pas le RGPD : la CNIL interpellée
Suite à l’arrêt Schrems II, le Privacy Shield ne peut donc plus être utilisé pour encadrer le transfert des données vers des organismes situés sur le sol américain, sauf si des garanties supplémentaires sont données ou si les transferts sont justifiés dans le cadre de l’article 49 du RGPD (prévoyant des exceptions dans des situations particulières).
Cette décision a poussé La Conférence des Grandes Ecoles (CGE) et la Conférence des Présidents d’Université (CPU) à saisir la CNIL concernant la conformité au RGPD de l’utilisation de logiciels proposés par des sociétés américaines dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche. Cette demande de conseil s’inscrit dans l’accélération de la digitalisation dans ce secteur. Dans le cadre de leurs activités, ces organismes sont en effet amenés à transférer des données concernant un grand nombre de personnes, incluant étudiants, chercheurs, enseignants et personnel administratif. Ces données peuvent être sensibles, comportant notamment des informations de santé, de recherches ou des informations sur des mineurs.
La CNIL, constatant que l’utilisation de ces outils américains soulève un risque élevé d’accès illégal aux données, appelle à des évolutions dans leur utilisation. Elle se dit également prête à accompagner les entreprises dans l’identification des outils qui peuvent se substituer à ceux proposés par des entreprises américaines et aussi à accompagner les organismes dans leur mise en conformité.
NetExplorer, une solution pensée pour l’enseignement
Les organismes, publics comme privés, doivent dorénavant privilégier les outils respectant le RGPD, notamment en matière de solutions informatiques de cloud computing. Il existe des alternatives intéressantes en France, à l’instar de la solution NetExplorer. Notre plateforme de stockage en ligne, de partage de fichiers et de travail collaboratif est particulièrement adaptée pour le secteur de l’enseignement.
Des fonctionnalités avancées pour faciliter le quotidien de tous les intervenants
Avec NetExplorer, les écoles et les universités facilitent la gestion et le partage des différents documents, sans limite de taille et de format. En effet, elles peuvent centraliser leurs documents administratifs, les supports de cours et les travaux des étudiants sur une seule plateforme. Tous les intervenants peuvent y accéder facilement, via un identifiant et un mot de passe.
Notre outil facilite l’accès au savoir ainsi que le travail d’équipe entre étudiants, mais aussi entre professeurs. Il est d’ailleurs possible de créer des groupes pour les étudiants, professeurs et membres du personnel.
NetExplorer facilite aussi le travail des enseignants. En effet, ces derniers peuvent collecter les travaux des étudiants directement sur la plateforme, sans limite de téléchargement. Ils peuvent également ajouter des notes en ligne. Les étudiants, de leur côté, peuvent accéder à leurs cours sur la plateforme et y déposer leurs travaux via un simple lien. Plus de 60 extensions de fichiers sont admises. Ils peuvent également coéditer un document entre eux, le verrouiller, ou encore rechercher rapidement un fichier s’ils le souhaitent.
De plus, l’outil est intuitif et facile à prendre en main. Il est aussi configurable à souhait. Il permet à tous les utilisateurs de gagner un temps précieux au quotidien. Ces derniers peuvent accéder à la plateforme de n’importe où et à tout moment. Ils peuvent accéder aux documents même sans connexion internet.
La sécurité est assurée à travers plusieurs fonctionnalités, comme la double authentification, par exemple. Toutes les actions réalisées sont aussi traçables (consultation de document, téléchargement, envoi…) et les droits d’accès sont parfaitement administrables, de sorte à assurer une sécurité maximale.
Des garanties de sécurité élevées
NetExplorer facilite le stockage et le partage des fichiers, ainsi que le travail collaboratif dans le secteur de l’enseignement. En plus de vous offrir une garantie de téléchargement très haut débit, nous assurons également un niveau de sécurité très élevé.
Toutes vos données sont hébergées en France, notamment dans nos data centers situés dans la capitale. Dans ce cadre, vos informations sont protégées par le RGPD, relatif aux législations françaises et européennes en matière de protection de données.
Nous utilisons des datacenters figurant parmi les plus fiables en France. Les accès sont contrôlés en permanence par des personnes physiques, mais aussi des caméras. La qualité de nos infrastructures est assurée par plusieurs certifications ISO (ISO 27001, ISO 9001). Un accès biométrique assure quant à lui les entrées et sorties des salles contenant les serveurs.
Notre réseau est également protégé par un panel de dispositifs performants : pare-feu, reverse proxy, load balancer, etc. Vos données sont également protégées de tout risque de perte. En effet, elles sont dupliquées en temps réel dans 3 supports de stockage. Nous appliquons également une politique de rétention, pour assurer leur disponibilité pendant encore 30 jours en cas de suppression par inadvertance.
Toutes les fonctionnalités et les garanties offertes par NetExplorer en font la solution idéale en matière de cloud computing en France dans le secteur de l’enseignement.